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WEEKLY NEWS ISSUE of: 02-10-2003
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* Guinée-Bissau. Attaque d’un camp militaire — Le 25 septembre, vers 3h du matin, un groupe d’individus armés non identifiés a attaqué le camp militaire de Mansoa (50 km au nors-est de Bissau), a rapporté la radio locale Sol Mansi. Les assaillants ont été repoussés par les forces armées, selon la radio. L’attaque a fait 2 morts et un blessé du côté des assaillants, a annoncé le commandant du camp, qui a invité les populations fuyant en masse la ville à regagner leurs domiciles. Selon des sources concordantes, les assaillants seraient des proches de feu le général Ansumane Mane. La junte militaire a envoyé des renforts sur place. (D’après PANA, Sénégal, 26 septembre 2003)
* Guinea-Bissau. Interim government — 28 September: A new civilian administration is sworn-in, two weeks after the army seized power in a bloodless coup. A businessman, Henrique Rosa, takes over as Interim President, and will head a transitional government. A new prime minister, Antonio Artur Sanha, is also appointed. Both have been chosen by the coup leaders. (ANB-BIA, Belgium, 28 September 2003)
* Guinée-Bissau. Administration provisoire — Le dimanche 28 septembre, l’armée au pouvoir, les partis politiques (sauf le Parti d’union social-démocrate de l’ancien Premier ministre Fadul) et des membres de la société civile ont signé un accord pour la formation d’une administration provisoire et l’organisation d’élections libres (législatives d’ici six mois, et présidentielle un an plus tard). Un Conseil national de transition, organe consultatif faisant office d’Assemblée nationale, a été mis sur pied, constitué de 25 membres du Comité militaire, 23 représentants des partis politiques et 8 membres de la société civile. Le même jour, le nouveau président, Henrique Rosa, a prêté serment aux côtés du nouveau Premier ministre, Antonio Artur Sanha. - Le 30 septembre, le Premier ministre intérimaire, M. Sanha, a proposé un cabinet de transition de 12 ministres et de 6 sécrétaires d’Etat. (ANB-BIA, de sources diverses, 1 octobre 2003)
* Kenya. HIV/AIDS bill approved — The Kenyan government has approved a bill aimed at ending discrimination against sufferers of HIV/AIDS. Jackson Githae, deputy justice minister, said the legislative proposals would make it a criminal offence to sack or deny employment to anyone on the basis of their HIV status and would prevent schools and colleges from refusing admission to students with the virus. The legislation, among the first of its kind in Africa, would also prevent insurers from raising premiums or denying services to HIV-positive clients. (Financial Times, UK, 25 September 2003)
* Kenya. Leaders declare their wealth — President Kibaki and his entire cabinet have declared their wealth — just one day before a deadline set for all public servants to do so. Mr Kibaki warned that those who failed to declare their wealth by 30 September, would be severely disciplined as they would be deemed to be abetting corruption. (ANB-BIA, Belgium, 29 September 2003)
* Kenya. Half of Kenya’s judges corrupt — 30 September: Half of Kenya’s judges and nearly a third of its magistrates are corrupt, according to a committee investigating the Kenyan judiciary. The committee, itself led by a judge, gathered evidence against five of the country’s nine judges in the court of appeals — Kenya’s highest court — and against 18 of the 36 in the high court. «Corruption has resulted in a loss of confidence in the judiciary as an institution,» said Justice Aaron Ringera, head of the committee. The judges accused of corruption were not identified publicly. But under Kenyan law the chief justice will have to ask President Mwai Kibaki to appoint a tribunal for each of the 23 judges to further investigate them and to recommend the action to be taken against them. The report comes a day after the president submitted a statement of his wealth as part of a government drive against corruption. (ANB-BIA, Belgium, 30 September 2003)
* Liberia. Steps towards peace — On 29 September, the United States began withdrawing its peacekeeping force from Liberia. Two warships have departed and a third is due to leave in mid-week. About 100 US troops remain on the ground in Liberia, mainly stationed around the US embassy. On 30 September, it was announced that Brussels Airlines (Belgium) is to start operating weekly round flights to Monrovia from 1 October. On 1 October, the West African peacekeepers in Liberia, exchanged their own hats for United Nations blue berets, to mark the start of what is set to become the UN‘s biggest pace mission. At full strength — 15,000 troops, 1,115 international police, 250 military observers and 160 staff officers — UNMIL will be the biggest UN deployment since the one that helped end the war in Sierra Leone. Earlier, the peacekeepers shot their weapons into the air to restore calm after rebels and government troops exchanged fire in the capital during a visit to the city by rebel leader Sekou Conneh. Three people were killed and Mr Conneh was forced to abandon plans for his first meeting with interim President Moses Blah. In northern Liberia, a government military commander said his positions had been attacked near the border of Bong and Nimba counties, leading to a «mass exodus» of civilians. (ANB-BIA, Belgium, 1 October 2003)
* Liberia. Force onusienne - Réfugiés — 28 septembre. Quelque 3.250 soldats de la force de stabilisation ouest-aricaine (Ecomil) actuellement en poste au Liberia seront intégrés au contingent de Casques bleus de l’Onu qui doit prendre en charge les opérations de maintien de la paix dans le pays cette semaine, ont annoncé dimanche des responsables des Nations unies. Les soldats de la CEDEAO seront les premiers de cette force de 15.000 hommes chargée de maintenir une paix fragile après 14 ans de guerre civile. Un bataillon du Bangladesh doit rejoindre ces premières troupes d’ici deux semaines. - Par ailleurs, le président libérien Moses Blah a invité dimanche les dirigeants rebelles à rejoindre la capitale en vue de l’inauguration du gouvernement de transition le 14 octobre prochain. Cette invitation intervient au lendemain de la première rencontre entre un émissaire de M. Blah et Sekou Conneh, le dirigeant du principal mouvement rebelle. Celui-ci a fait savoir qu’il se rendrait à Monrovia mercredi pour rencontrer le président Blah. — 30 septembre. Des centaines de Libériens continuent à fuir vers la Guinée par crainte d’une reprise des combats entre forces gouvernementales et rebelles du LURD, a indiqué mardi le Haut commissariat aux réfugiés. Depuis le début de la semaine, quelque 1.300 réfugiés ont ainsi gagné les zones frontalières de Bignamou et Baala, en Guinée, ayant quitté leurs foyers dans le comté de Lofa (nord). Dans les comtés voisins de Bong et Nimba (centre), des combats ont fait fuir vers la Guinée plus de 6.000 Libériens depuis deux semaines. — 1er octobre. Les soldats de l’Ecomil ont coiffé les bérets bleus de l’Onu. Mais l’entrée officielle de la Mission des Nations unies au Liberia (Minul) a été marquée par une soudaine flambée de violence dans une banlieue de Monrovia. Le cortège de voitures qui conduisait le chef rebelle Sekou Conneh à un rendez-vous avec le président Blah, a été pris à partie par une foule en colère. Une fusillade qui s’en est suivie, a fait trois morts. Conneh est indemne. (ANB-BIA, de sources diverses, 2 octobre 2003)
* Maroc. Les résultats du PJD — En dépit d’un faible résultat électoral, les islamistes “modérés” du Parti de la justice et du développement (PJD) se sont finalement imposés comme les vainqueurs politiques des élections communales du 12 septembre. L’incapacité des partis traditionnels à surmonter leurs rivalités ont permis au PJD de prendre le contrôle, cette semaine, de quatre villes importantes: Meknès, Khénifra, Errachidia et Témara. Un résultat d’autant plus remarquable que le PJD avait décidé de ne présenter des candidats que dans seulement 15% des circonscriptions électorales. Il aura fallu près de deux semaines de négociations aux conseillers municipaux des grandes villes pour élire à leur tour les présidents des conseils de ville. Mais, arrivés en tête de scrutin, les deux partis politiques traditionnels, l’Istiqlal et l’Union socialiste des forces du progrès, piliers de la coalition gouvernementale, se sont entredéchirés, parvenant à perdre le contrôle des plus grandes villes du royaume. (D’après PANA, Sénégal, 25 septembre 2003)
* Maroc. Sahara occidental — Le Maroc a lancé une vaste offensive diplomatique pour confirmer sa souveraineté sur le Sahara occidental. Dernier volet de cette mobilisation, l’envoi dans les grandes capitales occidentales à la mi-septembre d’une délégation de Sahraouis loyalistes, pour expliquer “les dangers” et “les incohérences” du nouveau plan de règlement proposé par l’Américain James Baker, qui a relancé l’idée d’un référendum à l’issue d’une période transitoire d’autonomie. Le 24 septembre, en marge de l’Assemblée générale des Nations unies, le roi Mohammed VI a reçu des assurances du président Bush comme quoi Washington “n’imposerait pas de règlement”. Il a également rencontré le président algérien Bouteflika sur cette question. Tout en relevant que des divergences persistent entre Alger et Rabat au sujet du Sahara occidental, les observateurs n’écartent pas la possibilité d’un sommet entre les deux dirigeants dans les semaines à venir. Par ailleurs, la perspective du plan Baker étant repoussée, au moins jusqu’à fin octobre, la diplomatie marocaine décline désormais deux autres grands axes. Le premier vise Alger, accusé d’avoir “créé un conflit artificiel” et d’armer le Polisario. Le second concerne le sort du millier de militaires marocains détenus encore par le Polisario. (ANB-BIA, de sources diverses, 26 septembre 2003)
* Maroc. Condamnations de terroristes — Le 26 septembre, la justice marocaine a condamné à mort deux hommes reconnus coupables de meurtre et de complot visant à commettre des actes terroristes, et a infligé de lourdes peines de prison à deux prédicateurs de mosquées qui auraient inspiré des kamikazes. Cela porte à 16 le nombre de prévenus condamnés à la peine capitale pour des faits similaires depuis les attentats suicides de Casablanca du 16 mai dernier, dans lesquels ont péri 33 personnes en plus de 12 kamikazes. Plus de 50 peines de réclusion à perpétuité ont déjà été prononcées. (ANB-BIA, de sources diverses, 27 septembre 2003
* Morocco. Girls guilty of terror charges — 30 September: A court in Morocco has sentenced two teenage girls to five years in a correctional centre for plotting terrorist attacks. The 14-year-old twin sisters were accused of planning suicide attacks on the Moroccan parliament, on a supermarket selling alcohol and against the royal family. A third teenage girl was acquitted of any involvement in the offenses. The three girls were arrested early this month and accused of conspiracy along with 18 adult accomplices. Defence lawyers said the twins had admitted planning the attacks. But the lawyers pleaded for leniency, saying the girls had grown up in a difficult social environment and had been exploited by adult accomplices. (ANB-BIA, Belgium, 30 September 2003)
* Mauritius. Ethnic power transfer — 30 September: The first non-Indian to become prime minister of Mauritius has taken his oath of office. Paul Berenger, 58, who is of white French ancestry, replaces long-serving premier Sir Anerood Jugnauth. It follows a power-sharing deal between the two men whose parties joined forces to fight a general election in 2001. Indo-Mauritians make up 70% of the population, and have been in power since the island’s independence from Britain in 1968. Under the deal, Mr Jugnauth takes up the largely ceremonial post of president. (ANB-BIA, Belgium, 30 September 2003)
* Maurice. Nouveau Premier ministre — Le 30 septembre, le nouveau Premier ministre de l’île Maurice, Paul Bérenger, a officiellement pris ses fonctions à Port-Louis. Il est le premier chef de gouvernement, depuis l’accession de l’île à l’indépendance en 1968, à ne pas appartenir à la communauté hindoue, majoritaire dans ce pays de quelque 1,2 million d’habitants. Il remplace Sir Anerood Jugnauth, qui a démissionné. Cette alternance à la tête de l’Etat était prévue dans un accord électoral conclu avant les élections générales de septembre 2000 entre les deux principaux partis politiques mauriciens. L’accord stipulait que Sir Anerood Jugnauth assumerait les fonctions de Premier ministre pendant trois ans, puis qu’il passerait le témoin à Paul Bérenger pendant deux ans, avant l’organisation des prochaines élections prévues en 2005. -Le 1er octobre, le président Karl Auguste Offmann a démissioné de ses fonctions. Il sera remplacé, le 7 octobre, par l’ancien Premier ministre Sir Anerood Jugnauth. (ANB-BIA, de sources diverses, 1 octobre 2003)
* Niger. Dix radios suspendues — Le Conseil supérieur de la communication (CSC) a ordonné à dix radios privées du pays de suspendre leurs programmes à partir du 25 septembre, annulant leurs autorisations d’exploitation pour “défaut de conformité à la réglementation en vigueur”. L’ensemble des stations visées ont décidé de ne pas se soumettre à la décision du CSC et poursuivent leur diffusion. Rappelons par ailleurs que, le 16 septembre, le directeur de publication de l’hebdomadaire L’Enquêteur, Ibrahim Souley, a été conduit à la prison centrale de Niamey. Il lui est reproché d’avoir dénoncé des malversations dans l’attribution de marchés publics. “Que se passe-t-il au Niger?”, demande le secrétaire général de Reporters sans frontières. “Les autorités doivent à tout prix se reprendre et rappeler leur engagement en faveur de la liberté de la presse”. (D’après RSF, France, 29 septembre 2003)
* Nigeria. L’industrie textile menacée par les importations — L’industrie textile nigériane est sur le point de s’effondrer en raison de la concurrence effrénée de produits venant de l’étranger, selon l’Union nationale des travailleurs. Le syndicat déclare que le marché nigérian est inondé de produits textiles étrangers qui sont mieux protégés, ce qui a entraîné la fermeture de compagnies locales et la perte massive d’emplois. Selon le syndicat, 10 usines textiles ont fermé leurs portes dans le pays au cours des 12 derniers mois, et 50 autres depuis 1995. Afin d’aider les fabricants locaux, le gouvernement a interdit, à la fin de l’année dernière, l’importation de tissus imprimés et a décidé que les tissus non imprimés ne devaient pénétrer dans le pays que par les ports d’Apapa et de Tin Can, à Lagos, afin d’appliquer une stricte surveillance sur ces articles. Mais ces mesures n’ont pas eu les résultats escomptés, les douanes étant accusées d’avoir failli à leur mission. On accuse de hauts responsables du gouvernement d’être de mêche avec les contrebandiers en leur permettant d’introduire des produits textiles en contrebande. Le porte-parole des douanes a rejeté ces accusations. (PANA, Sénégal, 25 septembre 2003)
* Nigeria. Premier satellite nigérian — Le 27 septembre, une fusée russe a mis en orbite le premier satellite du Nigeria, un événement suivi en direct à la télévision par des millions de Nigérians. Le satellite, d’une valeur de 13 millions de dollars, aura pour mission de contrôler les ressources en eau du pays, l’érosion de ses sols, la déforestation et les catastrophes naturelles, selon Solomon Olaniyi, porte-parole de l’agence spatiale nigériane. L’engin devra également surveiller les infrastructures militaires et pétrolières du pays. (AP, 28 septembre 2003)
* Nigeria. Ethnic violence hits oil output — On Bowen Avenue in Warri, one of the main cities in Nigeria’s oil-rich Niger Delta, a burnt-out car stands opposite a house front masking a pile of rubble. Two women operate an impromptu clothes shop underneath a redundant notice on the wall: «This house belongs to Chief Sillo and is not for sale.» «They burned my store,» says Rebecca Igbinovia, one of the stall-holders. «They call it crisis but I call it war.» The destruction marks another stage in the troubles in and around Warri, enveloped in fighting between youths from the Ijaw and Itsekiri ethnic groups. Dozens have died in the dispute since March and at least 4,000 displaced, as sociopolitical strains — compounded by oil theft and piracy — have dogged oil companies in the delta. Multinationals such as Royal Dutch/Shell and ChevronTexaco, which together account for about two-thirds of the country’s production, have shut some facilities until the climate improves. At the height of the troubles, oil output was reduced by up to 40 per cent of the country’s daily output of about 2m barrels. About 140,000 barrels a day of ChevronTexaco capacity and 105,000 barrels a day of Shell capacity remain shut off. «It’s a whole range of issues that came together in the closedown of those facilities for such a long time,» says a spokesman for Shell Petroleum Development Company, Shell’s Nigerian joint venture. «What we need to do is work closely with the government to resolve [the problems].» The violence is partly rooted in a disagreement over how local governments were divided up during the military dictatorship of Sani Abacha, who died in 1998. The Ijaw claim they have disproportionately few seats for their population, although the Itsekiri deny this. Attempts to reach a compromise have failed. The problems are set against wider social difficulties, highlighted in 1995 by the execution of the writer Ken Saro-Wiwa and eight other environmental activists campaigning on behalf of the Ogoni people of the delta. The killings provoked criticism of Shell and led to pressure on the oil industry to focus its social policies in the region, still impoverished despite decades of oil exploitation. The government now gives the delta a greater share of official income from crude sales, but many remain angry about pollution and oil companies’ employment policies. The present troubles are augmented by an increase in the organised theft from pipelines and well heads. Earlier this year the racket was estimated to have reached between 100,000 and 130,000 barrels a day. Bello Oboko, an Ijaw leader, says it was a dispute over a barge of stolen oil passing by an Ijaw community that precipitated the violence in March. People in the town and western diplomats report a build-up of sophisticated weapons among warring groups in the region. The Nigerian military has responded to the security concerns by launching a mission called «Operation Restore Hope», although it has offered few details. But the poor human rights record of the security forces causes concern — they were accused of murdering hundreds of civilians in neighbouring Bayelsa state in 1999. The inhabitants of Warri report incidents of extortion and intimidation by security personnel. In Bowen Avenue, they are preparing for more clashes. One building has «Igbo Man House» chalked above the door — indicating that the owner is neither Ijaw nor Itsekiri. «People are suffering here because of this fighting,» says Victoria Ajwuncha, one of the occupants. «In short — no peace, no joy.» (Financial Times, UK, 30 September 2003)
* Nigeria. Petrol queues as prices set to rise — Long queues of vehicles built up on 30 September at petrol stations around Lagos, Nigeria’s commercial capital, amid expectations of an imminent nationwide rise in the officially-subsidised fuel price. A government committee on fuel pricing set up after April’s re-election of President Olusegun Obasanjo highlighted the failure of the longstanding government policy of selling fuel at a heavily-subsided single flat rate. The removal of fuel subsidies is seen as a key test of the new government’s willingness to press through economic reforms, and a first step toward privatisation and rehabilitation of the country’s decrepit refineries. Fuel price rises will however be extremely unpopular. The government was forced into a partial climbdown in July after its attempt to raise the price of fuel from N26 to N40 a litre triggered riots and a general strike. The price rose instead to N34 (around 25 US cents). That increase followed several months of petrol queues, as motorists faced the choice between scarce supplies of subsidised fuel and black market products at significantly higher prices, often Nigerian fuel smuggled back into the country. (Financial Times, UK, 1 October 2003)
* Nigeria/Bénin. Trafic d’enfants — Une centaine d’enfants béninois victimes du trafic des mineurs et exploités dans des carrières au Nigeria ont été récupérés par les autorités d’Abuja et remis au gouvernement béninois. Le Bénin est devenu, depuis quelques années, une des plaques tournantes du trafic des enfants. Des parents démunis confient leurs enfants, moyennant des sommes de 15 à 30 euros, à des “passeurs” qui promettent de prendre en charge leur éducation. Ces enfants sont ensuite vendus à des grands exploitants agricoles dans des plantations de cacao et de canne à sucre, au Cameroun, au Gabon, en Côte d’Ivoire et au Nigeria notamment. (La Libre Belgique, 1 octobre 2003)
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