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WEEKLY NEWS ISSUE of: 07-02-2002

PART #1/4 - From AFRICA to CONGO-BRAZZA

   Part #2/4:  
Congo RDC => Mali

   Part #3/4:    
Morocco => Swaziland

   Part #4/4:      
Tanzania => Zimbabwe

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* Afrique. Dialogue interreligieux — Le 30 janvier, l’Eglise anglicane et l’université musulmane sunnite de référence, Al-Azhar, ont signé à Londres un accord de coopération. Il entend favoriser le dialogue entre chrétiens et musulmans en insistant sur la compréhension mutuelle et sur les relations pacifiques entre ces deux religions. L’université d’Al-Azhar du Caire (Egypte) avait signé un accord similaire avec l’Eglise catholique en 1998. Le grand imam d’Al-Azhar, cheick Mohamed Sayed Tantawi, qui occupe l’une des positions les plus respectées de l’islam sunnite, a appelé les gens de toutes confessions à “se tenir ensemble du côté de la vérité et de la paix”. (La Croix, France, 1er février 2002)

* Afrique. Le Forum de Porto Alegre — La deuxième édition du Forum social mondial, qui s’est officiellement clos mardi 5 février à Porto Alegre, dans le sud du Brésil, a délivré un message à destination des décideurs du monde politique et financier réunis à New York, les appelant à s’inquiéter davantage des politiques à mettre en oeuvre et des pauvres, plutôt que des bénéfices et des protestations. Au Forum économique mondial à New York, le secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan, a jugé qu’il ne fallait pas sous-estimer ce Forum social, dont le slogan “Un monde différent est possible” a rassemblé quelque 50.000 opposants à la mondialisation libérale, soit plus du double que l’an dernier. «Son titre — Forum social mondial — est une critique qui vous est adressée. Il implique que vous vous intéressez ‘seulement’ à l’économie et aux bénéfices et que vous ne vous souciez pas des effets sociaux de vos activités économiques. Et cette critique résonne à travers le monde», a souligné Kofi Annan. (D’après AP, USA, 6 février 2002)

* Africa. Human RightsWest Africa: On 6 February, Human Rights Watch said British Prime Minister Tony Blair’s trip to West Africa this week presents a major opportunity for the British government to affirm its commitment to human rights, and to bring international attention to some of the most pressing issues on the continent. Burundi: Amnesty International said on 4 February that the government must now act to stamp out torture and impunity. Egypt: On 5 February, Amnesty International said the trial of human rights defenders threatens freedom of expression. Reference was made to the trial of Saad Eddin Ibrahim and three other human rights defenders. Guinea-Bissau: On 4 February, Amnesty International said human rights defenders and political opponents in Guinea-Bissau are facing a substantial clamp-down on peaceful opposition and criticism of government policy. On 6 February, the International Federation of Human Rights called on President Yala to release opposition Socialist Alliance leader, Fernando Gomes. Rwanda: On 5 February, Amnesty International called for the immediate and unconditional release of three peace and reconciliation activists. Sudan: On 1 February, Human Rights Watch said that Sudan’s justice system is handing down barbaric punishments, including death by stoning, and amputations. Tunisia: On 4 February, Amnesty International said that political opponents must be released immediately. Zimbabwe: Numerous international human rights and media organisations have protested against the passing of the Access to Information and Privacy Bill. (ANB-BIA, Brussels, 7 February 2002)

* Afrique de l’Est. Hécatombe marine — De grandes quantités d’animaux marins sont morts récemment au large des côtes de Somalie et du Kenya, pour une raison encore inconnue. Le phénomène s’étend sur près de 1.000 km de côtes de l’océan Indien. Les habitants ont reçu la consigne de ne pas manger les poissons morts. Selon les responsables locaux de Kiunga, une réserve marine à l’extrême nord du Kenya, “jusqu’à ce que l’eau soit analysée, il est difficile de déterminer avec certitude ce qui tue les poissons, mais nous soupçonnons une prolifération d’algues” toxiques microscopiques teignant la mer en rouge. Toutefois, cela survient habituellement dans des eaux calmes et chaudes, alors que la mer était très agitée ces derniers temps. Les Somaliens, eux, mettent en cause la pollution. (La Libre Belgique, 2 février 2002)

* Afrique de l’Ouest. Tournée de Tony Blair — Le 6 février, le Premier ministre britannique Tony Blair a entamé une tournée de quatre jours en Afrique de l’Ouest. Il se rendra au Ghana, au Nigeria, en Sierra Leone et au Sénégal. Il devrait promettre une aide et des échanges commerciaux accrus pour le continent. M. Blair, qui avait qualifié l’Afrique de “cicatrice sur la conscience du monde”, a indiqué dans une interview au quotidien The Times que la communauté internationale avait eu la meilleure occasion en une génération de réduire la pauvreté en Afrique et de commencer à bâtir des nations prospères à travers le continent. Il a averti que la négligence des Etats en faillite de la part des pays industrialisés posait le risque de voir se reproduire la même situation qu’en Afghanistan, débouchant sur le terrorisme et la drogue qui sèment la mort dans les rues de l’Occident. “Nous avons le devoir d’agir et nous pouvons agir”, a-t-il déclaré. (D’après PANA, Sénégal, 6 février 2002)

* Africa/UK. Blair pleads for African mission — 6 February: Tony Blair has argued the developed world has a «duty to act» to help relieve global poverty on the eve of his tour of west Africa. Mr Blair, whose stops will include Ghana, Nigeria, Sierra Leone and Senegal, said the international community has «the best chance in a generation» to tackle deprivation in Africa. The prime minister believes it is time to start building successful nations across the continent. And he warned that neglect of failing states by the developed world ran the risk of a repeat of the situation in Afghanistan. Many believe the abandonment of that stricken country after its battle against Soviet occupation produced the terrorism and drugs that have harmed the West, he said. Mr Blair told The Times: «We have got a duty to act. We can act. The reason I’m so passionate about this is that I think we have got the best chance in a generation to make a difference.» The prime minister has said that he wants to make help for Africa a key foreign affairs goal of his second term. 7 February: Tony Blair has arrived in Nigeria. Speaking en route to the capital Abuja, a relaxed-looking Mr Blair said that if he had listened to those criticising his international initiatives he would never have become involved in Afghanistan, Kosovo and Macedonia or India and Pakistan. He said that if he had listened to Britain’s Conservative opposition he would not even be involved in Europe. «You cannot live like that, so I let the criticism pass me by,» he said. He dismissed claims that he could have met the African leaders in Paris on Friday where President Chirac is hosting a summit on aid to the continent. «There is no substitute for having face-to-face talks with people — I will have a better idea, and they will have a better idea, of where both sides are coming from,» he said. He stressed the significance of the new partnership forged between leading African nations last year in an attempt to boost trade, end conflict and tackle poverty. (ANB-BIA, Brussels, 7 February 2002)

* Afrique/France. Chirac invite 13 chefs d’Etat — Le président français, Jacques Chirac, a invité à Paris, le 5 février, 13 chefs d’Etat africains, dont l’Egyptien Hosni Moubarak, le Sénégalais Abdoulaye Wade et le Sud-Africain Thabo Mbeki, pour fixer les contours d’une initiative commune de développement du continent africain, baptisée Nouveau partenariat de développement (NEPAD), et dont les modalités de financement devraient être examinées lors du prochain sommet du G8, prévu en juin au Canada. Créé en 2001, le concept du NEPAD vise à relancer une coopération économique avec les pays occidentaux sur de nouvelles bases. Quatre pays sont membres du comité de pilotage du NEPAD : l’Afrique du Sud, l’Algérie, le Nigeria et le Sénégal. (ANB-BIA, de sources diverses, 6 février 2002)

* Algeria. EU plans for gas liberalisation — Algeria’s president has roundly criticised the European Union’s plans to liberalise its gas market, saying it will undermine investment and the interests of foreign gas producers. Addressing the Gas Exporting Countries Forum in Algiers, which groups 15 gas producers, President Abdelaziz Bouteflika complained that the EU‘s first gas directive, which came into force in 2000, «was worked out without co-ordination with gas suppliers» and «heavily handicaps gas investments». Brussels’ aim in breaking down national gas monopolies and allowing cross-border competition is to create a single, more efficient gas market inside the EU. But outside gas suppliers, on which the EU is increasingly dependent, complain that EU liberalisation will also mean the death of long-term «take or pay» gas contracts on which their expensive pipeline and liquefied natural gas investments depend commercially. (Financial Times, UK, 5 February 2002)

* Algérie. Massacres de civils2 février. En début de soirée, onze personnes ont été tuées et neuf autres blessées à un faux barrage sur une route près de Médéa, au centre de l’Algérie, connu pour être un secteur d’activité du Groupe islamique armé (GIA). C’est la première fois depuis plusieurs mois qu’un massacre aussi important prend des civils pour cible. — 4 février. Dans la nuit, ces islamistes présumés ont abattu ou égorgé 22 civils dans l’ouest de l’Algérie, rapporte l’agence officielle APS en citant les forces de sécurité. D’abord, neuf personnes, circulant à bord de plusieurs véhicules, ont été tuées par balles et trois autres blessées à un faux barrage dressé par un groupe armé sur la route nationale, à Sidi Lakhdar. Dans le même temps, 13 autres personnes, appartenant à la famille d’un membre de Groupe de légitime défense (GLD, civils armés par les autorités) ont été assassinées par balles ou à l’arme blanche, par un autre groupe armé, dans leur domicile, dans la commune de Sidi Lakhdar. — 5 février. Aux premières heures, des rebelles ont tué trois miliciens et en ont blessé trois autres dans la région de Tizi Ouzou, à 90 km à l’est d’Alger. Ces attaques portent à plus de 60 le nombre de personnes tuées ces cinq dernières semaines, selon les informations données par les journaux et les autorités. Ces massacres font craindre le pire aux Algériens, à un moment où se préparent, dans la plus grande incertitude, des élections législatives prévues au printemps et où la situation en Kabylie est de plus en plus cahotique. (ANB-BIA, de sources diverses, 6 février 2002)

* Angola/Namibie. Frontière maritime — Le conseil des ministres angolais a approuvé cette semaine le traité délimitant la frontière maritime entre l’Angola et la Namibie. Cet accord est le résultat des négociations amicales entreprises par les deux pays depuis 1993, lors des premières rencontres sur la question de la délimitation de la frontière commune. La convention, qui sera soumise à l’Assemblée nationale pour ratification, traduit les bonnes relations existantes entre les deux pays et leur volonté commune d’exploiter les ressources et potentialités au bénéfice des deux peuples. (PANA, Sénégal, 2 février 2002)

* Angola. Rebel activity4 February: Fourteen people were killed in a rebel attack on an Angolan village near the coastal city of Benguela, an army spokesman has said. The attack by suspected Unita rebels on the fishing village of Baia Farta was carried out on 2 February — apparently timed to coincide with celebrations marking the beginning of Angola’s independence struggle. At the same time, rebels also succeeded in entering Ndalatando, the capital of Kwanza Norte province in the north of the country about 300 kilometres east of Luanda. In a statement broadcast on Angolan radio stations, an army spokesman said rebels had killed 11 people in Baia Farta and three of the attackers were themselves killed by government forces. About 10 people in the town were injured. The attackers also kidnapped 150 people and stole about 50 head of livestock, the spokesman said. Other reports say that many stores and homes in the town were looted. The police headquarters and the local police chief’s home were singled out as targets. It could not be independently confirmed that the attackers were Unita rebels, but the fact that so many people were abducted suggests that the attack was the work of the rebels rather than bandits. Villages in Benguela province have often been attacked by rebels and bandits in the past few months. 5 February: Suspected Islamic rebels have killed 22 people in western Algeria, government security sources say. The killings took place in two separate overnight incidents and are part of a recent flare-up of violence. In one attack, in a village near Sidi Lakhdar about 130 kilometres west of Algiers, the rebels used explosives to blast their way into a home, before killing 13 members of the same family. Nine people died and three were injured in a second attack in the same area at a fake roadblock, a method favoured by rebels for extorting money from motorists. The family members had either been shot dead or had their throats slit, Algeria’s APS news agency said. It added that the family’s father was a pro-government militiaman. (ANB-BIA, Brussels, 6 February 2002)

* Burkina Faso. Exécutions extrajudiciaires — Le 1er février, le Mouvement burkinabé des droits de l’homme et des peuples (MBDHP) a accusé les forces de l’ordre du Burkina d’avoir commis 106 exécutions extrajudiciaires entre le 15 octobre 2001 et le 15 janvier dernier, indique l’agence Misna. Le secrétaire général du mouvement a précisé que ces exécutions s’inséraient dans le cadre d’une campagne de lutte contre le banditisme, mais a vivement critiqué ces modalités d’action dictées par le gouvernement, à savoir “exécuter, plutôt que de prévenir, d’arrêter et de faire juger”. Il a ajouté que les victimes étaient pour la plupart des simples “voleurs de poules et de moutons”, que la campagne n’avait pas les effets dissuasifs attendus et qu’une telle situation était “révoltante et inadmissible” dans un pays qui se veut être un Etat de droit. -Le 4 février, le ministre de la Sécurité a admis que les forces de l’ordre avaient tué plusieurs voleurs armés au cours des derniers mois, mais a souligné qu’ils l’ont fait durant des fusillades avec des bandes fortement armées. “Pour faire face à la recrudescence brutale du banditisme, les forces de l’ordre ne peuvent que réagir par conséquent”, a déclaré M. Bassole. (ANB-BIA, de sources diverses, 4 février 2002)

* Burkina Faso. Massacres alleged3 February: Human rights activists in Burkina Faso have accused the authorities of carrying out wide-scale extra-judicial killings as part of a campaign to curb armed robberies. The Burkinabe Human Rights and People’s Rights Movement said its members had reported discovering more than 100 handcuffed and bullet-riddled bodies in the three months to early January. It said such executions were just as unlawful and unacceptable as the activities of the bandits being targeted by the security forces. There has been no reaction to the allegation from the Burkinabe authorities. 4 February: Burkina Faso’s security Minister, Djibril Bassole acknowledges the deaths of the armed robbers, but says they were killed in shootouts. (ANB-BIA, Brussels, 5 February 2002)

* Burundi/Tanzanie. Négociations avec les rebelles — A l’issue d’une rencontre avec son homologue burundais, le président tanzanien Benjamin Mkapa a indiqué, le 31 janvier, que son gouvernement entamerait des négociations directes avec les rebelles hutu burundais en vue d’obtenir un accord de cessez-le-feu, rapporte l’agence Hirondelle. “Mon gouvernement va contribuer avec beaucoup plus d’énergie à ce qu’il y ait des contacts directs avec ces groupes, en vue de créer un environnement favorable à cesser immédiatement les hostilités et à s’asseoir avec le gouvernement pour des pourparlers de paix”, a déclaré M. Mkapa. Selon lui, l’accord de paix interburundais, signé à Arusha en août 2000, contenait des réponses à toutes les revendications des rebelles. -D’autre part, trois mois après le début de la transition politique, les amateurs de bilans dressent déjà le constat amer de l’immobilisme des institutions, note l’agence PANA. L’intensification de la guerre civile a coïncidé avec la mise en place du gouvernement de large ouverture. La méfiance s’est accentuée entre le nouveau gouvernement et les mouvements rebelles. Et il y a eu plusieurs rendez-vous manqués dans la tentative d’ouvrir des négociations entre les parties belligérantes sur la question cruciale du cessez-le-feu. (ANB-BIA, de sources diverses, 3 février 2002)

* Burundi. Appel à l’Onu — Le président Buyoya a lancé un appel au Conseil de sécurité pour qu’il aide son pays à mettre fin à la violence, a rapporté l’Onu. Dans une intervention au Conseil, M. Buyoya a souligné que si la voie diplomatique ne parvenait pas à convaincre les rebelles de renoncer à la violence, d’autres moyens devraient être mis à contribution. Malgré une “amélioration de la situation”, le chef de l’Etat a maintenu que la persistance des violences constitue un réel défi qui pourrait compromettre le retour à la paix. Il a recommandé au Conseil de sécurité de se rendre à nouveau au Burundi pour évaluer la situation sur place. (IRIN, Nairobi, 6 février 2002)

* Cameroun. Dette annulée - Aide financière — Le 4 février, les Etats-Unis ont procédé à l’annulation d’environ 17 milliards de FCFA, une partie de la dette du Cameroun vis-à-vis de ce pays. Selon Washington, ceci est la conséquence des engagements pris par Yaoundé à l’égard du Club de Paris en décembre dernier et des efforts fournis par le Cameroun dans la gestion macro-économique. - D’autre part, le FMI apporte son appui au programme économique et financier du Cameroun. Le 30 janvier, l’institution a accordé quelque 11 milliards de FCFA au Cameroun, tout en exhortant Yaoundé à accélérer le programme de privatisation, à raffermir la sécurité des investissements et à finaliser sa stratégie de réduction de la pauvreté. (Reporters associés, Cameroun, 7 février 2002)

* Cameroun/Tchad. Retard de l’oléoduc — Le démarrage effectif du pipeline Tchad-Cameroun connaîtra un an de retard, indique la presse camerounaise, citant des sources proches de la COTCO (Cameroun Oil Transportation Company), le consortium chargé de la construction et de la gestion de l’oléoduc. Initialement prévus en janvier 2003, les premiers chargements de brut sont maintenant prévus en janvier 2004 à Kribi (Cameroun), à cause du retard pris dans les travaux de terrassement du trajet de l’oléoduc. (Reporters associés, Cameroun, 7 février 2002)

* Congo-Brazza. La fièvre Ebola — Les autorités sanitaires congolaises, citées par l’agence France-presse, ont annoncé que l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola qui sévit dans la région de la Cuvette ouest, à la frontière du Congo et du Gabon, a fait 13 victimes identifiées. Les 13 victimes étaient toutes originaires du village d’Oloba, principal foyer de l’épidémie, à 15 km de la frontière avec le Gabon. La semaine dernière, on avait enregistré six autres décès suspects dans le district de Kellé, à 700 km au nord-ouest de Brazzaville. D’après le dernier bulletin épidémiologique officiel, daté du 20 janvier, l’épidémie a fait au moins 23 morts dans la région de Mékambo (au Gabon, à 600 km à l’est de Libreville) et dans une zone frontalière du Congo-Brazzaville. (D’après AFP, France, 6 février 2002)

* Congo-Brazza. Résultats du référendum — Le 6 février, la Cour suprême du Congo, jouant le rôle de Conseil constitutionnel, a rendu publics les résultats définitifs du référendum constitutionnel du 20 janvier, donnant le “oui” victorieux à 84,5% et confirmant ainsi les résultats publiés par le ministre de l’Intérieur. Le même jour, l’opposition congolaise, toutes tendances confondues, a demandé l’annulation de ce référendum, indiquant que le scrutin avait été entaché de plusieurs irrégularités qui mettent en cause la validité des résultats. Elle a aussi exigé que l’organisation des prochaines élections générales, prévues entre mars et juin prochains, se fasse de manière consensuelle. (PANA, Sénégal, 6 février 2002)


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