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WEEKLY NEWS ISSUE of: 10-07-2003

PART #2/4 - From ANGOLA to KENYA 

Part #1/4:  
 Africa => Algeria 

   Part #3/4:    
 Liberia => Sierra Leone

   Part #4/4:      
Somalia => Zimbabwe

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* Angola. UNITA wants early poll 3 July: Angola’s former rebel group, UNITA, has urged the government to hold elections as soon as possible. Isaias Samakuva, who was chosen as UNITA‘s new leader, says he wants presidential and parliamentary polls to be called next year. The ruling MPLA is discussing when elections should be held. (ANB-BIA, Belgium, 3 July 2003)

* Burundi. Condamnations pour la tentative de coup d’Etat de 2000 — La cour militaire du Burundi a condamné le 20 juin à une peine d’emprisonnement à perpétuité, le lieutenant Gaston Ntakarutimana, présenté comme le cerveau de la tentative de coup d’Etat militaire du 18 avril 2000. Raphaël Manirakiza, seul civil poursuivi a, quant à lui, écopé de 20 ans de prison et le sous-lieutenant Léopold Manirakiza de 10. Seize sous-officiers ont été blanchis “pour avoir suivi les ordres de leurs officiers”. Le nom du vingtième inculpé, le colonel Antoine Marie Buhungu, qui a fui le Burundi depuis lors, n’a en outre pas été évoqué par le tribunal militaire. (Marchés Tropicaux, 27 juin 2003)

* Burundi. Rebel activity3 July: Rebels in Burundi say they have released one member of parliament and three other civilians of the 10 people they kidnapped on 28 June. A spokesman for the Forces for the Defence of Democracy (FDD) rebels, Gelase Ndabirabe, said that Veronique Nizigiyimana was freed for her own security from an undisclosed place which was full of men. The four MPs are members of the ethnic Hutu Frodebu party of President Domitien Ndayizeye. 7 July: Burundi’s second largest Hutu rebel group —the Forces for National Liberation (FNL) launch the fiercest attack on Bujumbura for almost three months. The fighting started early today and is concentrated in the southern suburbs of the capital. 8 July: Thousands of people have fled their homes in the south of the Burundian capital, Bujumbura, as heavy fighting rages for a second day between government troops and rebels. The main market in Bujumbura is closed as residents pour into the city centre from three districts in the south of the capital. More than 20 people have been killed since the clashes began on 7 July. Thousands of residents of Bujumbura sought refuge in schools and museums in the city centre. Hutu rebels of the Forces for National Democracy (FNL) are battling mainly Tutsi government troops, in the heaviest rebel attack on the capital in three months. The FNL is the second largest rebel group opposed to the power-sharing government that was set up as part of the efforts to end the 10-year civil war between the two ethnic groups. They say they will sustain their attacks to pressure the government of new President Domitien Ndayizeye to start negotiating with them. 9 July: MISNA reports that a new violent attack is launched this morning against Bujumbura. According to local sources, shells fired from the hills surrounding the capital fell right into the heart of the capital, claiming numerous victims and causing panic among the residents. (ANB-BIA, Belgium, 9 July 2003)

* Burundi. Force africaine et nouveaux combats3 juillet. L’Afrique du Sud vient de boucler le déploiement de son contingent dans le cadre de la force africaine de maintien de la paix au Burundi, a-t-on appris de source officielle à Bujumbura. L’Afrique du Sud a déployé maintenant un total de 1.600 hommes, dont les derniers éléments, au nombre de 120, ont débarqué à Bujumbura le 2 juillet. Le contingent éthiopien, fort de 980 hommes, est fin prêt et sera “très prochainement” dans le pays. Le Mozambique a promis 190 éléments. — 6 juillet. Les rebelles des Forces nationales de libération (FNL) ont lancé ce matin une attaque d’envergure sur le sud de la capitale Bujumbura. “Les rebelles sont très nombreux et mobiles; ils se déplacent par petits groupes et essaient de déstabiliser la capitale”, a déclaré un chef de zone. Les FNL sont le seul des mouvements rebelles hutu à avoir toujours refusé de négocier avec le gouvernement de transition. — 7 juillet. Les rebelles ont repris ce matin leur attaque dans des quartiers du sud de Bujumbura. Les quartiers de Kanyosha et de Musaga sont en proie aux tirs croisés de l’armée et des rebelles, qui pilonnent certaines zones au mortier, et les combats se sont intensifiés. Selon une source militaire, les Forces pour la défense de la démocratie (FDD) y ont prêté main forte aux FNL. Les combats ont fait au moins 28 morts dont 17 rebelles et deux soldats. Des dizaines de milliers d’habitants ont fui les combats. Une autre attaque à Kayanza, près de la forêt de la Kibira, attribuée par l’administration aux FDD, aurait fait deux victimes parmi les civils, dans la nuit du 6 au 7 juillet. — Le mardi 8 juillet, des voix se sont élevées au sein de l’opposition non armée pour inviter au dialogue “inclusif” de tous les protagonistes de la crise socio-politique. D’autre part, une délégation des FDD, conduite par Rajabu Huseni, séjourne depuis ce mardi à Kigali, où elle est venue solliciter la médiation du Rwanda pour l’application de l’accord de paix interburundais signé fin 2002. M. Huseni rejette sur le gouvernement la responsabilité de la non-application de cet accord. — 9 juillet. Les attaques des rebelles sur la capitale continuent toujours. Mercredi, ils ont pilonné le centre de Bujumbura au mortier, faisant 4 morts et 6 blessés. Pendant ce temps, le président Ndayizeye est en visite officielle à Berlin et à Bruxelles, où il a notamment plaidé la cause du Burundi devant les eurodéputés. (ANB-BIA, de sources diverses, 10 juillet 2003)

* Cameroon. State funeral for Foe7 July: Cameroon’s international midfielder, March-Vivien Foe, is laid to rest in a sports complex he was constructing in Okoui, Yaounde. More than 3,000 mourners pay tribute to the 28-year-old, who collapsed and died during the Confederations Cup semi-final against Colombia in France on 26 June. Prime Minister Peter Musonge led government and international personalities in the short burial ceremony that followed a three-hour long church service in Yaounde’s Cathedral of Notre Dame des Victoires. President Paul Biya attended the church service but did not go to the burial. An autopsy showed that Foe died of a heart failure and no stimulants were found in his body. (ANB-BIA, Belgium, 7 July 2003)

* Cameroun. L’adieu des Camerounais à Foé — Le 7 juillet, des dizaines de milliers de personnes ont participé dans la capitale camerounaise, Yaoundé, aux obsèques du footballeur Marc-Vivien Foé, décédé en France après un match de la Coupe des confédérations. Au cours de la messe célébrée dans la cathédrale, l’administrateur du diocèse, Joseph Akonga Essomba, a loué la générosité de Marc-Vivien Foé qui, après avoir subventionné l’électrification de cinq villages camerounais, se battait contre la poliomyélite. Etait présent à la cérémonie Sepp Blatter, le président de la Fifa, à la tête d’une forte délégation, tout comme le président camerounais Paul Biya et son épouse. Les résultats de l’autopsie et les analyses toxicologiques ont montré une “absence totale” de produits dopants, et son décès est dû à une hypertrophie cardiaque, probablement congénitale, a indiqué lundi le procureur de Lyon. (ANB-BIA, de sources diverses, 8 juillet 2003)

* Cameroun. Manifestations violentes — Depuis mardi soir, 8 juillet, au moins quatre personnes ont trouvé la mort à Douala (grand port au sud-ouest), où de violentes manifestations se sont poursuivies jusqu’à mercredi après-midi. Des conducteurs de motos-taxis manifestaient après la mort de l’un d’entre eux imputée à la police. Les autorités de Douala ont affirmé contrôler la situation, mais un témoin affirmait que les manifestants n’avaient “été arrêtés que par des coups de feu tirés en l’air” par la police. Une certaine tension restait perceptible dans le 6e arrondissement où les manifestants avaient tenté, en cours de journée, d’incendier un commissariat. (ANB-BIA, de sources diverses, 10 juillet 2003)

* Congo (RDC). EU considers long-term commitment to Congo — On 5 July, the European Union’s foreign policy chief will call for a radical shake-up of policy towards the Democratic Republic of Congo, proposing that the recently deployed peacekeeping force should be followed by a long-term civilian commitment. The proposals, which Javier Solana will present to ambassadors of the committee that deals with the EU‘s security and defence policy, reflect a consensus by experts about the limited usefulness of military missions. Last month Mr Solana told European leaders at the Thessaloniki summit that in almost every significant intervention «military efficiency has been followed by civilian chaos». The EU‘s new security doctrine, which Mr Solana presented at the summit, spelt out the need for change and it calls for much greater emphasis on civilian planning alongside and after any military operation. The proposals for Congo, drawn up by Mr Solana’s policy unit, were the first concrete steps towards implementing this new security doctrine, said diplomats. «It is also about the EU taking a much longer-term view over crisis management and conflict prevention instead of a short-term policy,» said a senior diplomat. «It shows the EU will simply not walk away from the Congo when they pull out their troops by September 1,» said another. Three weeks ago the EU launched its first peacekeeping mission outside Europe and independent of Nato, with the French taking the lead command under a United Nations mandate in Bunia, the regional capital of Ituri, north-east Congo. Mr Solana is proposing a three-pronged strategy for Ituri. The Europeans should help disarm, demobilise and reintegrate armed groups, particularly children. They should also prepare a socio-economic rehabilitation programme to back up the interim administration. This should include grassroots reconciliation. The EU should also channel some of the $231 million aid tranche from its European Development Fund (EDF) into setting up an ethnically mixed police force as «a matter of urgency». The proposal recommends that a further 205 million Euros of EDF money should be earmarked for building up the judiciary, supporting transitional institutions and preparing for elections. At next week’s summit of the African Union in Mozambique the EU will push for greater co-operation on conflict prevention with the AU. (Financial Times, UK, 2 July 2003)

* Congo (RDC). Gouvernement: femmes sous-représentées — Analysant la liste des membres du nouveau gouvernement de transition (dont quelques-uns doivent encore être nommés), l’agence DIA note la sous-représentation des femmes: elles ne sont que 5 sur 61 ministres et vice-ministres. Deux d’entre elles ont été désignées par le RCD-Goma: Faida Mwangila au ministère de la Condition féminine et de la famille, et Gertrude Kitembo à celui des Postes et télécommunications. Le MLC a nommé Mme Elysée Munembwe au poste de ministre de l’Enseignement primaire et secondaire. Mme Catherine Nzuzi Wa Mbombo, ministre de la Solidarité et des affaires humanitaires, représente l’opposition politique. Et les résistants Maï-Maï ont désigné Mme Jeanne Umba Ditengwa comme vice-ministre du Travail et de la prévoyance sociale. L’ancien gouvernement n’a (jusqu’ici) désigné aucune femme. (D’après DIA, Kinshasa, 4 juillet 2003)

* Congo (RDC). Clashes in Butembo7 July: MISNA reports that fighting has resumed in Butembo, North Kivu’s main city, situated in north-eastern Congo. Clashes have been reported in the area for the past four days. The situation remains difficult to understand. On 5 July, the Congolese Rally for Democracy-Liberation Movement (RCD-ML) lead by Mbusa Nyamwisi, who holds a post in Congo’s new transition government, had announced his intention of «ridding the zone under his control of “armed criminal gangs orchestrated by external forces”». The fighting is apparently an attempt by the RCD-ML to disarm some branches of Mayi-Mayi combatants, until now, the RCD-ML‘s allies. It appears that the May-Mayi are well equipped militarily and have accused Nyamwisi’s group of wanting to eliminate some of their commanders, threatening to devastate Butembo if the RCD-ML‘s plans are carried out. (MISNA, Italy, 7 July 2003)

* Congo (RDC). Situation au nord-est3 juillet. La France ne souhaite pas proroger le mandat de ses troupes à Bunia, a déclaré le chef d’état-major des forces armées françaises, le général Henri Bentégeat, cité jeudi par la radio onusienne “Okapi”. Il a précisé que Paris ne souhaite pas que ses soldats, qui composent la quasi-totalité de la force multinationale d’urgence à Bunia, y restent au-delà du 1er septembre. Cette force devrait être remplacée par des casques bleus. — D’autre part, le 4 juillet, le journal L’Avenir de Kinshasa annonce avoir appris qu’une brigade de soldats rwandais progresse de Walikale (Nord-Kivu) pour atteindre Manguruzipa. Elle serait commandée par le colonel Mayaga, un ancien chef Maï-Maï récupéré par Kigali et le RCD-Goma. Une autre colonne de soldats rwandais progresserait vers l’Ituri et devrait arriver à Mambasa et Eringeti. L’objectif serait de faire jonction avec les milices de Thomas Lubanga en Ituri. Ce dernier aurait obtenu deux convois d’approvisionnement en armes par deux vols d’Antonov partis directement du Rwanda. (Ndlr. Nous communiquons ces informations avec les réserves d’usage). — Selon l’agence AP, de violents affrontements ont éclaté le 4 juillet à Butembo après que les rebelles contrôlant le secteur, le RCD-ML, ont tenté de désarmer des combattants tribaux Maï-Maï. Selon la mission de l’Onu (Monuc), les combats se poursuivaient dans l’après-midi. Ces combats mettent à nouveau le processus de paix en danger. Le mouvement rebelle RCD-Goma, soutenu par le Rwanda, refuse d’occuper les fonctions ministérielles promises dans le gouvernement de transition, justifiant son attitude par des arguments liés à la sécurité. Par ailleurs, à Bunia, l’ensemble de la force multinationale est désormais en place, mais selon Médecins sans frontières, la situation des réfugiés a encore empiré. — Lundi 7 juillet. Le haut responsable des Nations unies chargé des opérations de maintien de la paix a annoncé devant le Conseil de sécurité que “tous les efforts étaient faits” pour que les renforts de la Monuc puissent arriver à Bunia avant le 15 août. La “task force” de la Monuc, fournie par le Bangladesh, doit comprendre 3.800 hommes et prendra la relève de la force internationale intérimaire d’urgence. - A Butembo, les combats ont repris avec violence durant toute la matinée, puis se sont calmés. L’évêque de Butembo-Beni, Mgr M. Sikulu Paluku, a appelé la communauté internationale à prendre conscience de la tragédie qui se déroule en Ituri. — De son côté, dans un document titré “Ituri: couvert de sang”, l’organisation de défense des droits de l’homme Human Rights Watch (HRW) a demandé ce lundi au Conseil de sécurité de l’Onu de renforcer le mandat de la MONUC, l’autorisant à utiliser la force pour protéger les populations civiles, tant dans Bunia que dans les environs. Le document est disponible, en anglais et français, sur le site de HRW: ttp://www.hrw.org. Le Rwanda a rejeté les accusations de ce rapport qui assure que Kigali est impliqué dans le conflit en Ituri. (ANB-BIA, de sources diverses, 8 juillet 2003)

* Congo (RDC). War is international not local — On 8 July, Human Rights Watch said that the war in Congo has been misdescribed as a local ethnic rivalry, when in fact it represents an on-going struggle for power at the national and international levels. The 57-page report, «Covered in Blood: Ethnically Targeted Violence in Northern DR Congo», provides evidence that combatants in the Ituri region of northeastern Congo RDC have slaughtered some five thousand civilians in the last year because of their ethnic affiliation. But the combatants are armed and often directed by the governments of Congo RDC, Rwanda and Uganda. (HRW, 8 July 2003)

* Congo (RDC). TV catholique nationale — La Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) a lancé la constitution d’une Radio-Télévision catholique (RTC) étendue à tout le territoire national. Depuis 1997, on note dans le pays une fermentation importante dans le secteur des moyens de communication sociale, avec la création de plusieurs réseaux diocésains radiophoniques et télévisés. La réalisation du projet demandera 5 ans depuis son financement. La CENCO prévoit de transmettre des programmes qui traitent de questions comme l’évangélisation, la Bible, les documents du magistère, la morale, le culte, la culture, l’éducation, le développement social et la santé. La réalisation de la RTC se déroulera en trois phases: 1) constitution de la station principale à Kinshasa, 2) création de cinq stations provinciales, 3) constitution de 41 chaînes diocésaines. Entre le début de la première phase et celui de la deuxième, il y aura un intervalle de trois ans. (Ndlr. Notons par ailleurs que le 9 juillet, la radio indépendante Maendeleo, basée à Bukavu, a repris ses émissions après une fermeture de sept mois imposée par le RCD-Goma). (Fides, Rome, 8 juillet 2003)

* Congo (RDC). Calendrier de l’installation des institutions — Le 8 juillet, la Commission de suivi de l’accord de paix a rendu public le calendrier de l’installation des institutions de la transition en RDC. L’installation de l’état-major général de l’armée unifiée et la passation des pouvoirs entre les ministres sont fixées au 14 juillet. Les vice-présidents prêteront serment le 17 juillet. La première réunion du gouvernement aura lieu le 19 juillet. Les ouvertures de sessions extraordinaires de l’Assemblée nationale et du Sénat sont prévues respectivement le 23 et le 24 juillet. Quant au nouveau gouvernement, il présentera son programme devant l’Assemblée nationale le 4 août. (PANA, Sénégal, 9 juillet 2003)

* Côte d’Ivoire. Fin officielle de la guerre civile3 juillet. Le gouvernement ivoirien a adopté en conseil des ministres un projet de loi d’amnistie qui sera soumis très prochainement à l’Assemblée nationale. Ce projet vise à “effacer toutes les infractions contre la sûreté de l’Etat” quels qu’en soient les auteurs, mais il risque de se heurter à l’opposition du Parlement et de la rue. — 4 juillet. Les forces armées nationales (Fanci) et les rebelles ont proclamé la fin officielle de la guerre civile et ont appelé “toutes les personnes vivant en Côte d’Ivoire à suivre la voie de la paix”. Les deux parties ont dit avoir fait cette proclamation en raison de sérieuses menaces pesant sur la réconciliation nationale. Un appel a aussi été lancé demandant la suspension du réarmement des forces loyalistes. D’autre part, Toussaint Alain, conseiller du président Gbagbo, a appelé la communauté internationale, l’Onu, la CEDEAO et Paris en particulier, à peser de tout leur poids pour un désarmement rapide des rebelles. Il a ajouté que la question du désarmement était cruciale pour garantir le retour à une paix durable, ainsi que pour favoriser le redémarrage de l’économie. (ANB-BIA, de sources diverses, 5 juillet 2003)

* Côte d’Ivoire. War declared to be over5 July: Ten months after an armed rebellion split Côte d’Ivoire in two, military chiefs from the national army and former rebel forces announce that the war is over. In a hastily convened and highly symbolic ceremony at the presidential palace, former rebels handed President Laurent Gbagbo a Kalashnikov rifle in a sign they are finally ready to disarm. They are ready to recognise the man they tried to oust only a few months ago. (ANB-BIA, Belgium, 5 July 2003)

* Kenya. Aide des USA et du FMI — Le gouvernement américain a accordé au Kenya une subvention de 135 millions de dollars destinée à mettre en place des projets de développement dans le secteur de la santé et à développer l’initiative d’éducation primaire gratuite, ainsi que les petites entreprises. - D’autre part, les ministres kényans des Finances et de la Planification rencontreront, le 7 juillet à Nairobi, le directeur général du FMI pour discuter avec lui d’un nouveau mécanisme de financement de l’institution en faveur du Kenya. La semaine dernière, le FMI a promis d’octroyer au Kenya une lettre d’intention permettant à ce pays de recevoir des financements bilatéraux de la part des bailleurs de fonds. (D’après PANA, Sénégal, 4 juillet 2003)


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