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WEEKLY NEWS ISSUE of:
04-12-2003

PART #1/4 - From AFRICA to RD CONGO 

 Part #2/4:  
 Côte d'Ivoire =>Liberia 

   Part #3/4:    
 Malawi => Sénégal  

   Part #4/4:      
South Africa => Zimbabwe

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* Afrique. Aide japonaise — Le Japon débloquera quelque 120 millions de dollars pour financer des “projets de taille humaine” en Afrique, a annoncé ce week-end à Paris le porte-parole de l’ambassade du Japon en France. Ces 120 millions constituent une aide non remboursable affectée à des projets touchant directement le bien-être des populations africaines, a-t-il indiqué. “Le Japon continuera ses efforts pour accroître son aide bilatérale à l’Afrique. Il est conforté dans sa détermination à être aux côtés de ce continent par l’existence du NEPAD”, a affirmé M. Yoshiaki. Il a en outre annoncé pour octobre 2004, la tenue d’une importante rencontre sur le commerce entre l’Afrique et les pays asiatiques qu’il a invités à suivre l’exemple du Japon dans leur coopération avec les pays africains. (PANA, Sénégal, 30 novembre 2003)

* Afrique. Journée du sida - Message des évêques — A l’occasion de la Journée mondiale du sida, le 1er décembre, les évêques d’Afrique ont publié un message intitulé “Pasteurs de l’Eglise famille de Dieu en Afrique par temps de sida”. Ce message fut préparé et approuvé durant la réunion du SCEAM en octobre dernier. Les évêques promettent une action concertée sur le VIH/SIDA : soutien des personnes infectées, prise en charge des personnes affectées et élimination des clichés sociaux de stigmatisation et de discrimination. Les évêques se disent solidaires avec leurs millions de membres pour faire face à la pandémie. “Nous entendons rendre disponibles les ressources propres à l’Eglise (...) sans rien perdre de nos convictions évangéliques”."Nous voulons promouvoir, par une éducation adaptée, les changements d’attitudes et de comportement qui aboutissent à la maîtrise de soi". Et ils développent un plan d’action, mettant en lumière plus de vingt objectifs et stratégies. (SCEAM, Africa Infodoc, 1 décembre 2003)

* Afrique. Lutte anti-malaria — A Addis-Abeba, des experts médicaux de 14 pays africains se sont engagés à combattre le fléau de la malaria, principale cause de la mortalité sur leur continent des enfants de moins de cinq ans. La propagation de la maladie serait due aux changements climatiques et à une plus forte résistance à certains antibiotiques. (Libération, France, 1 décembre 2003)

* Africa. Lead-up to Commonwealth Conference29 November: Zimbabwe’s President Mugabe says he is prepared to pull out of the Commonwealth if its members continue to ostracize Zimbabwe because of its human rights and economic policies. The President delivers a bitter attack on the «white Commonwealth, particularly Britain and Australia. He is particularly bitter towards Australia’s Prime Minister John Howard, whom he calls «genetically modified because of the criminal ancestry he derives from». 1 December: Representatives of civil societies in Commonwealth countries start a three-day meeting on «development and democracy» in Abuja, Nigeria, as a prelude to the Commonwealth Heads of Government Meeting which runs from 5-8 December. — Commonwealth Secretary-General, Don Mckinnon, commends Ghana for its tremendous contribution to the Commonwealth. 3 December: The UK‘s Queen Elizabeth II will open the Conference on 5 December, after a two-day state visit. — Commonwealth states led by Zambia appear set on a clash with Britain over Zimbabwe. Zambia’s President Levy Mwanawasa announces he will lead a campaign to readmit Zimbabwe, which was suspended in protest at alleged electoral abuses. Australia has backed Britain in calling for the suspension to remain in place. The Zambian leader says the continuing suspension of Robert Mugabe’s state after last year’s election «saddens» him. «We want the suspension to be lifted», he says. «Zambia does not support the continued suspension of Zimbabwe [and] we will raise the matter so that the suspension is lifted.» (ANB-BIA, Belgium, 3 December 2003)

* Afrique du Nord. Visite de Colin Powell — Le secrétaire d’Etat américain Colin Powell se rend en Afrique du Nord, les 2 et 3 décembre. Selon Human Rights Watch, il devrait profiter de sa visite pour aborder l’importante question de la situation des droits humains en Algérie, en Tunisie et au Maroc. Dans une lettre adressée au secrétaire d’Etat, HRW estime que ce voyage permettra de savoir si la politique américaine menée sur le terrain reflète réellement le discours du président Bush prononcé le 6 novembre, plaidant en faveur de la démocratie et les droits humains dans la région. “Colin Powell devrait déclarer publiquement que la lutte contre le terrorisme ne peut être menée aux dépends des droits humains”, a affirmé l’organisation. - D’autre part, “Reporters sans frontières” a également demandé à M. Powell, à l’occasion de sa visite au Maroc, de faire tout ce qui est en son pouvoir pour que les autorités marocaines libèrent les journalistes emprisonnés. (NewsPress, 28 novembre 2003)

* Africa/USA. Powell in North Africa2 December: US Secretary of State Colin Powell begins a visit to North Africa to encourage leaders to co-operate in the war on terror. He will be making brief stops in Tunisia, Algeria and Morocco. It comes amid new moves for peace between Israel and its neighbours, but commentators say Mr Powell is pointedly avoiding the Middle East. The aim of Mr Powell’s trip, according to State Department officials, is to encourage America’s allies in the region to work with them in the war on terror and to encourage moves towards democracy. But Mr Powell is also sending another equally clear message —the United States is not prepared yet to commit itself to another round of peace-making between Israel and the Palestinians. — In Tunisia, Colin Powell urges the Tunisian Government to pursue political and economic reforms. He then goes on to Morocco. 3 November: Colin Powell says that the USA is to double military aid to Morocco. (ANB-BIA, Belgium, 3 December 2003)

* Algérie. L’interdiction de l’alcool — Le 27 novembre, le ministre algérien du Culte, Boualem Ghoulamallah, a dénoncé la loi adoptée récemment par le Parlement, interdisant l’importation de boissons alcoolisées. Lors d’une conférence-débat, il a qualifié cette mesure de “populiste”, jugeant qu’elle ne “tenait pas compte de la contrainte qu’elle pourrait causer aux communautés de confession non musulmane qui vivent en Algérie”. Situant le débat sur un plan strictement religieux, le ministre se réfère à l’époque du prophète Mahomet pour battre en brèche l’argumentation des initiateurs de cette interdiction. “Même si l’islam interdit la consommation des boissons alcoolisées, le prophète n’a jamais imposé cette interdiction aux non-musulmans qui vivaient au sein de la communauté musulmane, par respect pour leur croyance”, a dit M. Ghoulamallah, qui risque les foudres des partis islamistes, à l’origine de cette loi très controversée. (AP, 27 novembre 2003)

* Algeria. Saudi poet dies in ambush28 November: A Saudi poet well known in the Arabic world has been ambushed and killed while hunting in the Algerian desert. Talal al-Rasheed died and six of his party were wounded when an armed group struck on the evening of 27 November near Djelfa, Algerian newspapers report. His body was flown home on a plane dispatched by the Saudi defence minister, a Riyadh paper confirmed. Mr Rasheed, also a magazine publisher, began writing poetry in the 1970s and was known for his love poems. He had been in Algeria to hunt gazelle and other animals in the Djelfa region. No details have been given of the attackers. (ANB-BIA, Belgium, 28 November 2003)

* Algeria. BA launching services to Algiers — British Airways is to start running flights to the Algerian capital for the first time early next year. From 5 January, BA Boeing 737s will fly to Algiers from Gatwick Airport in West Sussex, three times a week. A BA spokesman said Algiers was a key business market, particularly in the oil and gas industries, and it thought there would be «strong demand». The company also said it was stepping up flights to the Libyan capital, Tripoli, with immediate effect. It said it hoped to increase these services further next summer. (BBC News, UK, 30 November 2003)

* Algérie. Prince saoudien assassiné — Le 27 novembre, un homme d’affaires saoudien, membre de la famille royale, Talal ben Abdelaziz Arrachid, a été tué dans la région de Djelfa à 250 km au sud d’Alger, où il chassait depuis plusieurs semaines des espèces protégées comme la gazelle, selon la presse algérienne. Son convoi, escorté par les forces de sécurité algériennes, est tombé dans une embuscade tendue par un groupe armé. Neuf personnes de son escorte ont été blessées, alors que sept autres, enlevées par les assaillants, ont été retrouvées saines et sauves. (ANB-BIA, de sources diverses, 1 décembre 2003)

* Algérie. Enseignants grévistes licenciés — Le gouvernement algérien a commencé à mettre en exécution sa menace contre les enseignants du secondaire en grève depuis la fin du mois de septembre. Des procédures judiciaires ont été enclenchées contre seize “meneurs”, et les lettres de licenciement pleuvent sur les grévistes qui n’ont pas cédé à un ultimatum gouvernemental visant à forcer une reprise du travail, le samedi 29 novembre au plus tard. Les autorités affirment qu’un mouvement substantiel de reprise du travail s’est enclenché depuis samedi et que les grévistes, au plan national, ne représentent plus que 30% des enseignants. Des chiffres vigoureusement contestés par les deux syndicats autonomes, non reconnus par le gouvernement. Ceux-ci admettent que des enseignants ont, par peur, repris les cours, mais, précisent-ils, la grève reste suivie. (Le Monde, France, 3 décembre 2003)

* Burundi. Talks with rebels end in failure1 December: Hutu rebels opposed to Burundi’s power-sharing government have been meeting senior Tutsi government figures at a secret location in Nairobi. The first talks between the two sides began on 29 November, although the rebels refuse to recognise the government. On 30 November, two rebels belonging to the main Hutu group arrived in the capital to take up their ministerial posts. In the Kenyan capital, a spokesman for the National Liberation Forces said they did not recognise the legitimacy of the government, and were meeting officials and military leaders merely in their capacity as members of the Tutsi minority. 2 December: MISNA reports that the FNL have abandoned the peace talks with the government. (ANB-BIA, Belgium, 2 December 2003)

* Burundi. Nouvelles tentatives de paix — Des délégués du gouvernement et du Front national de libération (FNL , rébellion) devaient se rencontrer durant le week-end du 29-30 novembre à Nairobi (Kenya) pour des pourparlers informels visant à nouer un vrai dialogue sur les modalités d’arrêter les hostilités. La délégation gouvernementale, qui a quitté Bujumbura le vendredi, comprend deux hauts gradés de l’armée régulière, un évêque catholique et cinq civils. Une délégation des Forces pour la défense de la démocratie (FDD) est également associée à ces pourparlers. — D’autre part, le vendredi soir, deux cadres des FDD sont arrivés à Bujumbura pour préparer le retour massif d’exil des leaders politico-militaires de l’ex-principal mouvement rebelle. Et dimanche, deux des quatre ministres des FDD, récemment nommés dans le nouveau gouvernement aux termes de l’accord de paix, sont arrivés à Bujumbura. Il s’agit de Simon Nyandwi, nouveau ministre de l’Intérieur, et d’Onésime Nduwimana, ministre de la Communication. — 1er décembre. Dans la nuit du dimanche au lundi, les entretiens entre le FNL et la délégation gouvernementale se sont terminés sur un “échec”, selon le FNL. Après avoir longtemps refusé toute négociation, “nous étions partis à Nairobi pour le pardon mutuel, pour nous entendre sur l’organisation de véritables négociations entre toutes les composantes ethniques du Burundi, mais les Tutsi que nous avons rencontrés se sont abrités derrière le gouvernement”, a expliqué Pasteur Habimana. - D’autre part, on apprenait de source militaire que quelque 6.000 ex-combattants des FDD sont actuellement regroupés à Kibago, un site de pré-cantonnement dans le sud du pays. Leur comportement serait “irréprochable”, selon le commandant gouvernemental de la région. — 3 décembre. Plusieurs hauts cadres des FDD sont arrivés à Bujumbura pour participer aux institutions de transition. Accompagnés d’une quarantaine de leurs combattants, leur garde du corps, ils ont été escortés par les soldats de la Mission africaine au Burundi. Par ailleurs, selon l’AFP, une association burundaise pour la défense des droits de l’homme a accusé l’armée d’avoir tué, le 1 décembre, 23 civils dans le quartier de Kinama, à Bujumbura, après le meurtre d’un militaire par les FNL. Un responsable militaire a affirmé ne pas être au courant de cette tuerie. (ANB-BIA, de sources diverses, 4 décembre 2003)

* Congo-Brazzaville. New Ebola deaths in north26 November: Seven people have died in north-western Congo after 11 died earlier this month, say health officials. The latest outbreak of Ebola is believed to have started when a family ate a wild boar they had found dead. Health workers have blamed the rapid spread of the disease on traditional practices, such as washing and kissing the body of the dead. The same region was quarantined last year, after an outbreak of the highly contagious disease killed 100 people. The new deaths were recorded in Mbomo and Mbanza in Cuvette Ouest province. Thirty-three more cases have been reported in the area but heavy rains are hampering efforts to fight the outbreak. Médécins Sans Frontières (MSF) says it took their team four days to travel the 728km from Brazzaville to the affected area. MSF is training burial teams using culturally sensitive yet safe techniques for preparing and burying the dead. (ANB-BIA, Belgium, 26 November 2003)

* Congo-Brazza. Epidémie d’Ebola: nouveau bilan — L’épidémie de fièvre hémorragique d’Ebola qui sévit depuis octobre dans le département de la Cuvette ouest (nord-ouest) à la frontière avec le Gabon, a fait 25 morts sur 47 cas recensés, selon un nouveau bilan officiel mercredi. Un précédent bilan faisait état de 18 morts sur 36 cas. La plupart des victimes ont été enregistrées à Mbomo, chef-lieu de la Cuvettte ouest et les autres dans le petit village de Mbanza, à 15 km de Mbomo, indique le ministère congolais de la Santé dans le bulletin d’information qu’il publie depuis le début de l’épidémie. Selon le ministère, quelque 98 “cas contacts”, ont été identifiés à Mbomo et à Mbanza. Il s’agit des personnes qui ont eu des contacts directs avec les malades ou les morts d’Ebola, mais qui ne sont pas encore malades. En 2001 et 2002, une épidémie de fièvre hémorragique d’Ebola avait fait plus de 100 morts, toujours dans la Cuvette ouest. (D’après AFP, France, 3 décembre 2003)

* Congo (RDC)/Rwanda. Sommet à Pretoria — Le 27 novembre à Pretoria (Afrique du Sud), quatre chefs d’Etat africains ont entamé un mini-sommet d’une journée sur le suivi de l’accord de paix de juillet 2002 entre Kinshasa et Kigali. Le président sud-africain, hôte de la réunion, y recevait ses homologues congolais Joseph Kabila, rwandais Paul Kagame et mozambicain Joaquim Chissano (président en exercice de l’Union africaine). Le chef de la Mission de l’Onu (Monuc), William Swing, participait aussi à la réunion, mais le président ougandais Yoweri Museveni, initialement prévu, n’était pas présent. Le sommet visait à examiner les progrès effectués dans l’application de l’accord de paix, où Kigali s’était engagé à retirer ses troupes de l’est de la RDC, alors que Kinshasa avait promis de rapatrier au Rwanda les ex-Forces armées rwandaises et les miliciens hutu impliqués dans le génocide de 1994. En fait, de nombreuses organisations locales dénoncent toujours la présence de troupes rwandaises au Congo, même si Kigali le nie. D’autre part, selon les estimations, quelque 15 à 20.000 combattants rwandais hutu se trouveraient également dans l’est du pays. -Le communiqué final du sommet note que “beaucoup de choses ont été accomplies, mais il reste encore beaucoup de travail à faire” pour finaliser l’application de l’accord de paix. Les deux pays se sont vu confier la tâche de sécuriser l’est de la RDC. Ils “vont travailler ensemble” pour régler le problème des ex-FAR et milices en RDC “d’ici 12 mois au maximum”. L’Union africaine et l’Onu vont continuer d’aider les deux pays en ce sens, mais le processus est facilité “par un nouveau climat dans les Grands Lacs”, a déclaré Thabo Mbeki. - Le ministre congolais des Affaires étrangères, Antoine Ghonda, est attendu la semaine prochaine à Kigali dans le cadre de la mise en oeuvre du nouvel accord. (ANB-BIA, de sources diverses, 28 novembre 2003)

* Congo (RDC). Accidents meurtriers — Le bilan de la collision, mardi 25 novembre, entre deux barges sur le lac Mayi Ndombe (450 km au nord-est de Kinshasa), qui se déverse dans le fleuve Congo, s’est aggravé vendredi, avec 182 corps qui ont été repêchés, ont annoncé les autorités. Une centaine de passagers sont encore portés disparus, rapporte l’agence AP, alors que 222 au moins ont survécu. Quelque 500 passagers (le nombre exact n’est pas connu) s’étaient entassés avec leurs ballots à bord du Dieu-Merci, une embarcation en bois constituée de deux barges, qui commençait un périple de sept jours vers Kinshasa. Deux heures après le départ d’Inongo, une tempête s’est abattue, provoquant la désintégration des embarcations. Les équipes de secours continuent à rechercher des disparus. —D’autre part, le 26 novembre, le mauvais temps a provoqué un éboulement sur la ligne ferroviaire qui relie Matadi à la capitale, à la hauteur de Mpozo. Un train de marchandises, où étaient montés aussi des passagers, a déraillé et la locomotive et au moins trois wagons sont tombés dans le fleuve situé à 600 mètres sous la ligne. On déplore 14 morts. — Et le 29 novembre, un avion, un Antonov 26, s’est écrasé juste après son décollage de la ville de Boende (800 km au nord-est de Kinshasa). Il n’y a aucun survivant parmi les 22 personnes à bord (surtout des militaires, selon certaines sources). De plus, au moins 8 personnes ont été tuées dans des habitations contre lesquelles l’avion s’est écrasé. (ANB-BIA, de sources diverses, 1 décembre 2003)

* Congo (RDC). Recrudescence de la maladie du sommeil  — 168 cas et 32 décès, c’est le tragique bilan actuel de la maladie du sommeil à Isangi, sur le fleuve Congo, à 125 km de Kisangani. Cette alerte a été lancée par l’ONG chrétienne de Kisangani «Groupe justice et libération». Dans un appel diffusé ces derniers jours, elle dénonce un accroissement vertigineux de la diffusion du trypanosome, ce parasite véhiculé par la mouche tsé-tsé et responsable de cette maladie. L’ONG recommande au gouvernement congolais de déclarer Isangi «zone dangereuse» et d’envoyer d’urgence des médicaments ad hoc, ainsi que le nécessaire pour assainir les berges du Congo où prospère la mouche tsé-tsé. Elle en appelle en même temps à la communauté internationale pour soutenir les autorités de Kinshasa dans la lutte contre ce parasite létal. Si elle n’est pas soignée dès le début, en effet, la maladie du sommeil porte au décès, après des fièvres irrégulières, des douleurs musculaires et d’autres souffrances. (d’après FomekaNews, Italie, 4 décembre 2003)


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